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Let's get physcial
Le Goldfrapp des débuts ! Musique planante, limite hypnotique, et pas encore très orientée dance-floor comme le seront des titres ultérieurs. Une voix et de l'électro, c'est la recette gagnante de...
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le 9 juin 2013
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Are we human ?
Qu'on le sache, j'aime Goldfrapp. A la folie. Et en grande partie, grâce à ce premier album.
Après avoir tout écouté, c'est celui-ci qui le plus longtemps hante le cœur et l'esprit vous emmenant dans les tréfonds de forêts enneigés où des hommes à têtes de cerf fuit un cirque de monstres, où des chevaux pleurent tandis que des daims percent la lumière, où les sommets brillent d'éclats noirs.
Des bois et des cuivres enveloppent la voix envoûtante d'Alison Goldfrapp comme un manteau de velours : c'est divin. On croirait avoir trouvé la bande originale d'un vieux film, moitié James Bond, moitié surréaliste.
Un album maîtrisé de bout en bout.
Après avoir tout écouté, c'est celui-ci qui le plus longtemps hante le cœur et l'esprit vous emmenant dans les tréfonds de forêts enneigés où des hommes à têtes de cerf fuit un cirque de monstres, où des chevaux pleurent tandis que des daims percent la lumière, où les sommets brillent d'éclats noirs.
Des bois et des cuivres enveloppent la voix envoûtante d'Alison Goldfrapp comme un manteau de velours : c'est divin. On croirait avoir trouvé la bande originale d'un vieux film, moitié James Bond, moitié surréaliste.
Un album maîtrisé de bout en bout.
9
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Créée
le 12 juin 2012
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