Epic Darkness Madness

Pour ceux qui ne le connaisse pas :

Andrew Rayel est un DJ producteur moldave qui s'est fait connaitre à partir de 2011 grâce à son titre Aether. Après s'être hissé dans le top100 DJ dès 2012, il nous livre ici son premier album deux années plus tard, en 2014. On retrouvera dessus plusieurs collaborations, dont celle de la française Cindy Alma, Armin van Buuren ou encore Jonathan Mendeliev et Christian Burns.

Le premier morceau, Find Your Harmony, est introducteur de l'album, avec un piano présent à côté de légères sonorités électroniques. Il s'agit du style du DJ (surnommé Piano Man !), on retrouvera cet instrument sur les autres pistes mais avec des ajouts électroniques beaucoup plus intensifié.

Le style de l'album se veut à la fois épique, Dark (Dark Warrior, Eiforya) et sentimental (How do i know, Goodbye), ce qui fait un concentré de pistes assez original et un album plutôt variés au niveau des pistes, mais un peu moins au niveau des instruments utilisés.

Ce que je trouve bizarre est que l'on a l'impression que les introductions, les breaks, les vocaux et la fin de chaque chanson (constituées de sonorités légères, plus sentimentales) sont plus agréable à l'écoute que "les moments qui éclatent" par moments (constituée de Drops et de grosses sonorités électroniques recyclés).

Mes morceaux préférés de cet Opus :
- Find your Harmony (Introduction)
- Impulse
- How do i know
- Eiforya
- Sacramentum
- Fading Echos
- Goodbye

Pour ma part, je mets un 8 sur 10 car c'est un premier album électronique qui se démarque bien par son originalité et sa sentimentalité. En espérant qu'il ne tombe pas dans le piège "de la facilité par son propre style", qu'il ne bascule pas trop dans le commercial et qu'il puisse nous surprendre encore dans les années à venir.