Loin d'être au niveau du magnifique Back in Black, Fly on the Wall constitue, à mon avis, la base de l'inspiration pour un petit groupe qui arrivera à maturité 2 ans après appelé Guns n Roses. De nombreuses chansons comme Playing With Girls ou Hell or High Water (notamment la fin de la chanson) n'aurai pas fait tâche sur Appetite for destruction. Et finalement, j'ai passé un assez bon moment même si, et c'est pour cela que je n'ai jamais été fan, cela reste très basique et rythmiquement et structurellement. Bref, à part les emprunt légers au rock FM très en vogue en 85 (stand up notamment), cet album passe comme une cruche se brise quand on vole un boeuf.