Cette vision du gore sous le prisme de son histoire vise éminemment des fins politiques. Lous and The Yakuza, dépitée par tant de cruauté, entend changer les mentalités et les lois pour un monde un peu moins gore. Encore faudrait-il saisir les messages véhiculés par ses morceaux. Si Quatre heures du matin évoque avec désabusement et transparence le viol, d’autres demeurent flous même en étant averti des grandes lignes son histoire.
Un tour d’horizon rapide, tel semble le credo de cet album constitué de seulement 10 titres (pour une courte expérience de 29 minutes). On ressent vite une certaine frustration à l’écoute de Gore. Une redondance s’installe rapidement en dépit du soin accordé à la réalisation. On regrette alors que Lous and The Yakuza s’astreigne à la même recette; à savoir alterner rap basique et passages plus chantés dans chaque titre, sur fond hip hop peu recherché…
Notre critique complète ici : https://linfotoutcourt.com/critique-american-gods-saison-3/