L'imposture
Ca spammait à mort sur Facebook, au milieu de l'année 2010, en prévision de la sortie du premier opus du nouveau groupe britannique Hurts. « Si vous aimez The Cure – variante possible avec Joy...
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le 22 déc. 2011
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Oui, les années 80, que nous (qui les avons vécues) n'avons pas tant aimées, sont bien de retour. Hurts ressemble à un "cliché" un peu ridicule sorti de cette époque synthétique et arrogante, entre Pet Shop Boys pour l'aisance pop, Depeche Mode pour la pompe austère et Kraftwerk pour la froideur décalée. On sourira gentiment devant les tronches de croque-morts des deux gandins constipés sur la pochette d'un album intitulé "Happiness", et puis on se laissera doucement séduire par la qualité générale de leurs compositions, élégantes et déterminées, mais surtout régulièrement imprégnées d'une sensibilité surprenante, qui élève ce bel album bien au dessus des tentatives ridicules (et de triste mémoire) de LaRoux ou de Goldfrapp… [Critique écrite en 2010]
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Créée
le 4 févr. 2015
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