8
Holy Diver.
Après un "On Through The Night" assez bon mais pas excellent, DEF LEPPARD sortit 1 an plus tard un de ces meilleurs albums : "High n' Dry". Avec cet album, on peut sentir que le groupe a fortement...
le 4 janv. 2014
2 j'aime
1
Un incontournable du Hard Rock
1981, je découvre Def Leppard tout à fait par hasard en première partie d'un concert de Rainbow. C'est le choc. Ces jeunes gars ont une pêche d'enfer, et leur guitariste soliste, Pete Willis, nous décoche des riffs faramineux ! Seule faiblesse, la voix de Joe Elliott. Mais bon, ça passe. Je me précipite sur l'album "High'n'Dry" dont ils faisaient la promo. Que du bonheur ! Ces jeunes gars de 20 ans avaient une énergie folle et, avec l'aide du producteur Mutt Lange, nous ont offert un petit bijou, le premier de la trilogie mythique de Def Leppard. Quelques morceaux sortent du lot : "Lady Strange" et "MIrror, Mirror" (riffs fantastiques), mais aussi "High'n'dry", la ballade "Bringin' on the heartbreak" ou encore l'instrumental "Switch 625". A noter que la version CD contient l'excellent "Me and my wine".
9
Écrit par
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Top 10 Albums
Créée
le 17 nov. 2016
Critique lue 253 fois
D'autres avis sur High ’n’ Dry
9
Un grand disque de Hard Rock!
Cet album est tout simplement fantastique! Il est la raison pour laquelle je peux considérer Def Leppard comme un des meilleurs groupes de la planète hard rock. Même si le groupe aura été reconnu du...
Par
le 9 janv. 2019
1 j'aime
8
ambitieux
Objectif .... être des stars. Qu'est ce qui marche ? ACDC et son producteur mutt lang ? Ni une ni deux, on l'engage et on a du leur dire, "les mecs votre coté midinette à deux balles et trop sucrées...
Par
le 11 mars 2018
Du même critique
4
Certes pas le testament de Jacobs en tout cas
Depuis la mort d'Edgar P Jacobs, les repreneurs ont un forte tendance d'une part à concentrer les aventures sur le seul Mortimer, laissant à Blake un rôle de faire-valoir, et d'autre part à chercher...
Par
le 5 déc. 2016
3 j'aime
5
Triste dernier opus ...
L'album qu'on n'attendait plus, 13 ans après le premier tome et le décès d'Edgar P. Jacobs, voici Bob De Moor qui termine l'aventure, intitulée "Mortimer contre Mortimer". Décevant, mais nécessaire,...
Par
le 11 nov. 2016
3 j'aime
1
8
Excellent album de Jeremiah
Cet Hiver de Clown est l'un de mes albums préférés de Jeremiah, et pourtant Kurdy, son truculent faire-valoir, est absent. Un Jeremiah sans Kurdy, c'est un peu comme Tintin sans le Capitaine...
Par
le 19 août 2017
2 j'aime
