Pour ne pas grandir
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le 26 nov. 2020
Qu'il est difficile pour moi de défendre Hook de Steven Spielberg, tant sa vision de Neverland est artificielle et volontairement tire-larmes. Entre la direction artistique allant du moyen au grotesque, et le cabotinage outrancier des acteurs principaux, difficile de dire ce qui justifierait que l'on conseille à quelqu'un de voir ce film. Mais il y a quelque chose de magique, un élément immatériel et pourtant si important dans ce film à demi raté (ou à demi-réussi, c'est ainsi que je le vois), la musique. Et quelle musique !
Pour ce film; John Williams a développé des trésors d'imagination. Les thèmes sont virevoltants, aériens, tantôt amusants (Presenting the Hook, The Banquet), tantôt graves (When you're alone, Farewell Neverland). Le compositeur déploie tout son talent dans une orchestration ample, soutenue par un choeur magnifiant les moments importants. Jamais Neverland aura eu comme écrin des musiques si inspirées, rendant un hommage brillant à l'oeuvre de James Barrie.
Cette bande originale rejoint sans problème mon panthéon personnel, à côté de Star Wars 4 et de Superman. Ouvrez grand vos oreilles, et envolez vous vers Neverland, deuxième étoile à droite jusqu'au matin !
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le 6 févr. 2017
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