Reprise en main par Steve Albini, la franchise japonaise revient avec classe et profondeur avec ce Hymn To The Immortal Wind d'une beauté saisissante. Avec l'aide d'un orchestre de chambre, Mono compose ici de magistrales pièces étendues, suffocantes dans leurs montées, où la beauté contemplative se trouve chargée d'une hardiesse contagieuse.
Kristoffe
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le 24 déc. 2011

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