The Universal Sigh

L'album commence doucement avec Always on Fire, qui m'évoque la campagne américaine, une voix posée sur une instru tendre et bien orchestrée, tout comme le reste des musiques.
Nous avons affaire ici à un spécimen de premier choix: c'est-à-dire du pop rock gentillet mais niais pour autant, avec de belles paroles poétiques. La chanson enchaîne ensuite sur Mind-Reader, plus pop "dansante" mais qui donne la pêche. Puis vient The bitter end, que je croyais être une reprise de placebo avant de l'écouter, donc imaginez ma surprise quand j'ai vu qu'elle ne l'était pas du tout ! Une chanson traitant de l'amour et de la joie d'avoir quelqu'un à ses côtés.
Et voilà, les chansons sont bien composées, il y a quand même une recherche musicale dans cet album. C'est simple, je les aime toutes, sauf le petit bémol pour moi, le piano-voix de Absentee Heartbeat dont je ne suis pas très fan.
En fait c'est le bonheur ressenti à l'écoute des musiques de John Van Deusen qui fait que la recette marche bien ici. Rien de révolutionnaire non plus, mais ça rend heureux, n'est-ce pas le but de la musique, faire ressentir des émotions?