Jimmy Page, ne s'imaginait pas combien cette parole serait lourde de conséquence, au cours d'une entrevue donnée en 1977 . une fin brutale et irrémédiable le 25 septembre 1980 , de Jonathan Henry Bonham , alors âgé de trente deux ans, trouva la mort (victime de ses excès, comme de nombreuses rock stars, dont il rejoint à cette longue liste). remontons à l'année 76 ou, le quartet se remettent à peine de la pleine promotions des albums respectifs de Présence, et de la postproduction du film de The Song Remains The Same , qui résumait la tournée donné au cours de l'année 72 jusqu'à 1973 . à peine fini ,dés l'année 77, le groupe , repart en tournée , uniquement sur le sol américain .c'est à ce moment la, que les emmerdes commencent. une tournée est reportée, car Plant est victime d'une amygdalite ; une angine qui non seulement le fatigue mais, l'empêche de chanter, quelques jours plus tard, il reçoit un appel de son épouse , pour lui annoncer que leurs fils souffre d'une infection respiratoire et, a été transporté d'urgence à l'hôpital . deux heures plus tard, le téléphone retentit , pour annoncer la tragédie. leur enfant décède dans l'ambulance qui le conduisait à l'hôpital. évidemment, Plant ne montera pas sur scène. il prend le premier avion pour Londres, accompagné de John Bonham , pour assister à la cérémonie . étrangement, Page et Jones ,restent bloqués aux Etats-Unis . Plant ,traverse une dure épreuve, les médias ne l'épargne pas, en faisaient les gros titres là-dessus ,en n'arrangeant pas la situation du chanteur, remercie le soutien de Bonham , et s'occupe désormais de sa famille. le sort du quartet lui importe, et, ça se comprend. Page , tient une conférence de presse, pour mettre un terme à une soi-disant malédiction qui serait abattue sur le groupe ; vous l'avez compris ,Robert Plant en est le centre . et tout naturellement, le sort du quartet, en est en jeu. et c'est la, ou il la cette cette phrase à mon titre de ma critique. les mois s'écoulent, voir l'année , et Plant, reprend le gout à la musique. entre temps , son épouse est enceinte , la vie continue, malgré tout. par l'intermédiaire du manager du quartet , Bob retrouve jim et joe Paulo (John Paul) et Bonzo . il accepte de participer à de nouvelles répétitions , tout en montrant aux médias que non, Led Zep n'est pas mort. d'ailleurs, ce huitième album , renvoie dans les cordes, des journalistes et toute un génération de musiciens (plus particulièrement , ceux qui se déclarent la génération no futur) , qui veulent reléguer au rang des dinosaures en voie de disparition ceux qui ont écrit l'histoire du rock des quinze derniers années . pour ma part , j'ai apprécié ce second album d'incursions .ce rock 79 de In The Evening, le R 'n' B version nouvelle Orléans à South Bound Saurez, ce voyage Amérique latine de Fool In The Rain , et ce solo monstrueux à la troisième minutes et cinquante et unième secondes, même le rockabilly de Hot Dog, Carouselambra, le morceau de bravoure, et , l'émouvant All In My Love, destiné au fils de Plant . je ne lui est pas donné la note maximale, comme ce fut le cas du premier Led Zeppelin . la raison (In Through The Out Door) est toute simple: I 'm Gonna Crawl , plus particulièrement, quand il pousse des hurlements à la fin de cette chanson . c'est ça qui gâche ce blues-rock ,ô combien prometteur. selon moi, ce n'était pas nécessaire. si il fallait le remplacer , Wearing and Tearing, me semblait plus approprié , que Page finira d'ajouter dans l'album posthume "Coda" en 82, alors que les deux autres membres fondateurs, avaient déjà quitté le dirigeable, après la mort de leur batteur. voila, j'en ai fini avec les albums "officieux" de Page, Plant , Jones & Bonham . encore désolé pour les ponctuations , où non, qui interviennent de trop , ou pas assez . voir la syntaxe (on l'a où l'a pas, visiblement, je ne l'ai pas) c'est comme on aime, ou pas. petit nota: je n'ai pas connu le sac de papier qui enveloppa l'album , mais plutôt , l'une des six versions du visuel de In The Through The Out Door (le point de vue du barman) .