Lâcheté et mensonges
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Kurt Wagner arrive enfin, après toutes ces années brillantes à faire de la musique - comme on pose des parquets, en gros - avec Lambchop, sans doute plus ou moins où il voulait : composer la meilleure bande-son possible pour nos nuits solitaires comme pour nos nuits amoureuses. Une musique si ténue qu'il faut tendre l'oreille pour l'entendre, des mélodies si fragiles qu'on croit les avoir inventées soit-mêmes, des musiciens si discrets qu'on ne peut plus même parler d'interprétation et seulement de respiration. Et puis, de ci de là, une envolée timide vers le sublime, d'une beauté à vous briser littéralement le coeur. [Critique écrite en 2002]
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Mes 250 albums indispensables de l'histoire du Rock [en construction], Mes 10 albums préférés de 2002 et Les meilleurs albums de 2002
Créée
le 26 juil. 2014
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