Bon, ça y est les gars. Je suis accro à The Wall. Je m’enfile cet album hebdomadairement sans le vouloir. Je démarre avec In The Flesh, puis The Thin Ice, puis je me dis que j’écouterai bien Another Brick In the Wall, et là, je m’arrête plus et j’écoute tout.
Il serait peut-être temps que je refasse une critique neuve du The Wall original d’ailleurs.
Cependant, aujourd’hui, c’est sur le Live que je me suis arrêté. Parce que voyez-vous, Pink Floyd en live, c’est jouissif. Il n’y a qu’à écouter le magistral PULSE pour comprendre à quel point le groupe est capable de nous livrer des performances de dingue.
Ce que j’aimais dans PULSE, c’était l’audace de Gilmour/Mason/Wright à réinventer leurs propres morceaux pour leurs donner un nouveau souffle (Comfortably Numb et son solo de cinq minutes par exemple).
Concernant The Wall, j’avais déjà vu le live de Roger Waters (en DVD), dont la mise en scène allait au-delà de toute limite avec un mur d’une hauteur surprenante.
Le truc avec The Wall, c’est que, soit on l’écoute en studio et on se laisse aller par les bruitages et tout ça, soit on REGARDE le live avec tous les effets de mise en scène imaginés par Roger Waters quitte à avoir des cris du public (qui pour ma part, casse vachement l’immersion). Du coup, c’est comme si j’écoutais The Wall avec des cris derrière. Alors, y a bien quelques nuances avec l’album studio, des morceaux rallongés par-ci par-là. Mais en vrai, je préfère écouter l’album studio ou me refaire le DVD de Roger Waters The Wall plutôt que me refaire ce live. Parce qu’une fois qu’on a vu le live de Roger Waters et toute la démesure dont il a fait preuve, le moindre live un peu moins ambitieux va paraître plus fade.
Ceci dit, ça reste un live de qualité avec des moments forts (The Happiest Days of our Lives que j’ai trouvé très prenant). Enfin bref, Pink Floyd, j’ai vraiment du mal à trouver mieux.
EDIT:
Ouais non, en fait, ce live est énorme.