MAFIA BLUES
Dans une décennie où le rap français peine à se renouveler (pour pas dire éclaté), SCH s'impose une fois de plus comme le meilleur représentant de ca génération. Avec ce dernier projet, il ressort sa...
le 7 déc. 2024
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Puisque tous les senscritiqueurs ont déjà donné leur avis sur JVLIVS III et que je ne suis pas assez fou pour étudier la concurrence et lire 5 critiques sur cet album, je vous propose à la place un live report du concert que le S Gotze Numéro 19 Mathafack a fait le mardi 10/12/2024 à Paris Bercy, ou devrais-je dire l’ignoble Accor Arena.
Sortie ligne 14 et comme le dirait Ninho sur Prêt à partir : toujours les mêmes erreurs #référence.
On sort de la bouche de métro, on marche vers la file d’entrée, on se rend compte pour la énième fois que la file est destinée aux gens qui ont des places en gradins. On se remet en marche comme des cons vers l’autre bout de la ville pour aller en fosse. Contrôle des tickets puis des sacs, boissons plus chères que sur n’importe quelle aire d’autoroute détenue par l’horrible Bolloré. Direction le stand de merch et comme d’habitude, on joue à pile ou face pour savoir si les t-shirts seront sympas ou affreux (cette fois-ci ça sera malheureusement face). On (ici, ma princesse) se rabat donc sur les CD : exclusivité sympa cette fois-ci, puisque c’était le double CD avec en bonus les instrumentales qui était vendu.
20H : début de la première partie, DJ set de Nene, membre de l’équipe de SCH
Ayant déjà vu SCH au Zénith de Paris, une décision en interne est prise : il est hors de question de réécouter à nouveau un DJ set de Nene, pour deux bonnes raisons.
La première est principalement esthétique, puisque Nene passe principalement des sons qui sont à mes yeux “””dispensables”””. Ziak est dispensable, par exemple. Il l’était pendant le Zénith du moins, puisque nous n’avons pas entendu les morceaux joués cette fois-ci.
La deuxième raison est principalement technique, puisque Nene aime détruire les tympans des scélérats et des gâtés avec des basses désastreuses. Nous dirons que c’est aussi là que réside notre esprit hip-hop mais pas pour cette fois.
Nous apprenons aussi que Dospunto (duo signé sur le label de SCH) sont de la partie. C’est malheureusement une information qui nous parvient dans les arrêts de jeu. Il est déjà trop tard pour aller les voir et espérer quelque chose.
Nous attendons donc patiemment dans le coin fumeur que le temps passe avant de rejoindre la fosse.
20H40 : entrée dans la fosse
Le DJ set ayant fini vers 20h30, nous entrons dans la fosse aux alentours de 20h40. Nous mettons en place la technique classique : nous longeons les bords de la fosse et nous remontons quasiment jusqu’au-devant de la scène. Pas suffisamment cependant, puisque notre nanisme caractérisque finira par nous rattraper en plein vol. La sanction tombe et elle est sans appel, puisque nous serons condamnés à une visibilité nulle et des regards écran obligatoires. Nous sommes cependant bien placés par rapport au public puisque nous avons un bon espace et que le son sera globalement au bon volume.
Don’t hate the player, hate the game qu’ils disent.
20h45 : début du concert de SCH
La musique d’ambiance s’arrête, la lumière s’éteint. SCH a décidé de lancer son show en prime time 20h45 pétantes, comme à l’époque de nos grands-frères qui regardaient encore la LDC sur TF1.
Quelques notes commencent à se jouer et on reconnait déjà le morceau. C’est Prequel, l’intro de l’album JVLIVS... Prequel, oui. SCH se lance alors sur scène avec l’énergie qu’on lui connait plus ou moins : il est très statique et reste globalement dans une interprétation très sobre et froide de son morceau. Vous pouvez en réalité vous arrêter ici si vous vouliez savoir comment le spectacle s’est globalement passé, puisque le marseillais ne sortira jamais de ce roleplay de mafieux froid et ténébreux. Un peu comme Vito Genovese. Ou Sasuke, selon vos références.
Quelques morceaux du Prequel s’enchaînent et on comprend assez vite ce que SCH veut – va - faire, puisqu’il va interpréter de façon chronologique, selon le canon des 4 opus JVLIVS qu’il a sorti au jour où ce truc est écrit, ses morceaux. 21h pointe le bout de son nez et on commence à comprendre que SCH va rapper sur ses bandes et dérouler comme il a l’habitude de le faire. Il n’y a alors rien de plus à commenter sur la performance de SCH en tant que telle, si ce n’est qu’il est en maîtrise et qu’il gère globalement sa performance vocale autotunée.
On comprend aussi que SCH et son équipe ont construit toute la scénographie de cette tournée comme une pièce de théâtre. On y voit des acteurs et des actrices qui évoluent dans des représentations imagées de l’univers de JVLIVS. Pour la partie consacrée à Prequel, il y a la fameuse tablée dans l’interlude de La Recette ou l’habitation dans le “joli lotissement” dont il parle dans Batterie Vide, par exemple. Il y a donc un (des) décors, mais aussi des effets projetés, comme à peu près 99% des gros concerts de rap. Il y a parfois des danseuses, mais cela serait mentir que vous dire que je les aperçois de là où je suis. On les devine donc et on les retrouve parfois sur les écrans. La scénographie est en réalité vraiment cool, si l’on omet certains effets. Mais j’ai envie de dire que les effets visuels too much restent un classique du concert rap.
SCH déroule le tapis rouge pour son préquel, puisqu’il y consacre 9/10 morceaux. Il joue aussi son morceau A7, pour le côté fan-service.
SCH clôture la première partie du concert avec l’outro de Prequel, Batterie Vide. Première fermeture du rideau et lancement de l’interlude, juste le temps que SCH parte se changer et enfile une nouvelle tenue.
Intro. VNTM se lance. SCH rentre alors en pilote automatique, il connait son terrain (“je suis sur tous les rraintés” disait-il sur Liquide) puisqu’il a déjà fait une tournée où cet opus prenait beaucoup de place dans ses concerts. La seule chose qui change en dehors des morceaux est donc le prix de son pantalon. Et la scénographie, mais je suis mauvaise langue.
JVLIVS I se termine et il est environ 21h45. Même si on adore blaguer ici comme vous avez pu le voir, je suis moi aussi marseillais sur les bords et je ne souffre pas réellement le martyr contrairement à ce j’essaie de vous faire croire. Il faut dire que ce concert est pour le moment globalement ok pour quelqu’un qui ne connait pas SCH et vraiment sympa pour quelqu’un qui apprécie un minimum sa musique. Le choix des morceaux est assez bon (même si on pourra reparler de la longueur finale du show plus tard) et SCH fait une bonne prestation en dehors du RP timide. Il faut aussi saluer la volonté de SCH et son équipe dans cette volonté de théâtralisation des différents JVLIVS, même si je pense que cette scénographie se prête mieux à des salles un peu moins grandes que Bercy.
Interlude.
Début de l’acte 3 sur l’intro de JVLIVS II, Marché Noir. On prend le pli, on est à l’aise, on connait le schéma. Presque comme si on était à la maison finalement. C’est à mes yeux la partie où la scénographie est le plus à mon gout puisque Parano est aussi mis – je trouve - à l’honneur. Déjà, il faut redire que Parano, c’est du sérieux. Mais Parano fait aussi partie de ces quelques parties du concert où SCH se met vraiment en scène. En soi, il n’arrête pas de jouer le côté froid et statique, mais il se retrouve impliqué au premier plan dans une mise en scène. Quelques lasers verts (il est traqué par des gens qui lui veulent du mal!!!) dans la pénombre, il est la cible. C’est classique mais disons que ça colle bien à l’interprétation assez monolithique de SCH. Ça colle aussi au morceau, bien évidemment. Je laisserai les autres juger quant aux effets visuels projetés.
Cependant, pour une raison que j’ignore, SCH expédie relativement vite la partie sur JVLIVS II. Terrible pour le gâté que je suis, mais libérateur pour tous les scélérats du concert.
Le mal-aimé de la famille à qui on aura accordé un peu moins de temps que ses frères et sœurs finit donc par retourner dans les loges au bout de six petits morceaux afin de laisser la place au nouveau-né, petit bout de chou vers qui tous les regards sont tournés et dont la naissance à globalement ravi la famille, en atteste la belle moyenne actuelle que les afficionados de senscritique lui ont attribué, (7.6/10 au moment où j’écris ces quelques lignes).
Interlude.
Le rideau s’ouvre une dernière fois.
Stigmates se lance.
SCH n’aura jamais sorti le kimono.
Et là, gros changement. SCH, qui rappait sur ses bandes depuis plus d’une heure et demie, fait rentrer ses musiciens. Guitariste, violoncelliste, pianiste. J’en oublie peut-être, visibilité réduite oblige.
Changement que l’on comprend assez aisément puisque JVLIVS III se veut plus orchestré, ou à minima plus organique. Il parlait même de son amour de la guitare en interview pour Apple Music mais aussi de son attachement à la variété française.
On se dit alors que l’entame du tome III donnera un second souffle au spectacle et permettra de clôturer ce Bercy à la hauteur du statut que le rappeur a acquis.
Stigmates se lance, je disais donc, et...
Dur.
Dur car SCH se retrouve assez vite débordé. Trop d’informations, trop de scénographie, trop de tout. A la décharge de SCH et pour ne pas non plus tomber dans le pugilat, deux choses :
- Il semblerait qu’il ait eu beaucoup de difficultés au niveau du son de sa voix. Il touchait son boitier micro quelque fois. Je suis ingé son, donc je m’y connais, pas d’inquiétudes. Sa voix était complètement noyée sous le reste des instruments, ce qui accentuait le côté brouillon de cette partie finale. Peut-être un niveau aussi au niveau de la régie / du retour son.
- Bercy et l’acoustique... I prefer not to speak
Petit faux pas mais on espère naturellement que cela va s’arranger pour les autres morceaux.
Miroirs se lance. Compliqué, on peine à comprendre le morceau. Encore une fois, la voix de SCH est parfois au bord de l’inaudible. Le fait que ce morceau soit chanté tel quel alors qu’il est pensé sur CD en duo avec l’interlude qui le précède le dessert aussi, malheureusement.
Quartiers nord se lance. On remonte la pente, on se dit que ça va mieux.
2:00 se lance. SCH commence son morceau avec le pianiste et la violoncelliste, seuls. Pari gagnant, le concert regagne un peu en clarté et cette disposition rend honneur au morceau sur disque. J’oserai peut-être même dire qu’il est magnifié.
Et là, PAUSE. Je me rappelle. Ninho était présent sur la date parisienne de la veille mais nous n’avons (toujours) pas vu l’ombre d’un guest. Grand concert parisien oblige, si guest il y a, il devrait arriver maintenant et rendre tout le monde heureux en faisant une belle entrée et honorer le morceau sur lequel il apparait.
La madame Irma en devenir que je suis devine donc - aisément - que Damso arrive. Cependant, pas le temps d’être content, puisque Damso nous inflige la double peine dès la première mesure, totalement off beat. Le rappeur belge n’arrivera jamais à retomber correctement sur sa paire de chaussures hors de prix et massacrera la fin du morceau une deuxième fois, puisqu’il avait aussi décidé de nous sortir sur CD un couplet pire que celui de Jul sur Mode Akimbo. Peut-être que la régie a eu un souci, peut-être que Damso était bourré, seul le béton armé de cette grande salle qu’est L’Accor Arena sait ce qu’il s’est vraiment passé.
Pas le temps de se remettre de ses émotions, SCH lance ensuite le dernier instant bonbon, le dernier morceau hors JVLIVS. Évidemment, il choisira encore un morceau pré-JVLIVS qui n’est pas vraiment à mon goût. Le choix étant Je La Connais. Pas de commentaires, donc.
SCH, finalement, lance le trio de morceaux La Pluie – Missiles – La Lumière. C’est mieux, beaucoup mieux. Il faut dire que ces morceaux-là sont à priori plus à même d’être joués dans cette disposition en live. Je pense même que Missiles se trouvera une nouvelle aura auprès du public qui l’aura entendu interprété différemment en live.
Accompagné d’une belle guitare de fin sur La Lumière, SCH nous remercie et demande à Dieu de nous garder. Pour les quelques sceptiques qui se demandaient encore si le S était mort ou en prison à la fin de JVLIVS III, le rappeur saura leur donner une réponse à travers sa scénographie.
On part dès que les dernières notes de La Lumière retentissent afin d’éviter les rassemblements. Évidemment on n'y arrive pas, évidemment on sort trop tard, évidemment tout le monde a fait la même chose que nous. Don’t hate the players, comme nous disions.
23h et des poussières, fin du concert.
Une fois les très belles brochettes à Kebab que nous avions envie de DÉGOMMER et les affiches à 2 euros esquivées, l’équipe éditoriale prend le chemin du retour.
On discute, on s’interroge aussi. #LCP #débatparlementaire
Une partie de l’équipe (#elle), ne comprend pas comment SCH a pu en arriver à des choix de scénographie pareils. Tout est too much à ses yeux et même si elle comprend évidemment la volonté de SCH et son équipe de monter le concert comme une pièce de théâtre avec, pour chaque acte, des décors différents, elle ne comprend pas le choix des effets spéciaux et du graphisme. Il faut dire que c’est une esthète.
Pour une autre partie de l’équipe (moi en gros), ce concert traduit peut-être une fuite en avant de SCH. Tout s’est enchainé très vite pour lui cette année, il a sorti deux albums et il a de suite embrayé sur une tournée qui se termine en janvier 2025. Est-ce que SCH avait envie de clôturer au plus vite cette série d’album ? Probablement, encore plus quand on sait à quel point les fans réclamaient sans cesse la suite des JVLIVS et à quel point également les fans attendaient au tournant le rappeur marseillais à la suite du deuxième opus.
Est-ce que la fusillade dans laquelle une partie de son équipe a été impliquée l’a poussé à accélérer car il s’est rendu compte que tout pouvait s’arrêter du jour au lendemain ? Peut-être.
Je pense que cette tournée souffre malheureusement de cette volonté de vouloir clôturer tout, maintenant et sans même prendre la peine de souffler un peu. Cela rend même compliqué d’accrocher le public, qui était globalement assez calme, avec un album a peine digéré.
Peut-être que le temps finira par me donner cependant tort puisque SCH commence à teaser
La setlist traduit aussi les limites de cette volonté : elle est longue, trop longue. Pas en tant que telle, mais la volonté d’offrir un grand spectacle n’arrive pas à suivre la longueur du show. Le rythme est très fragmenté puisque SCH décide de dérouler partiellement des morceaux dans l’ordre chronologique alors que le séquençage de ses albums est pensé pour que tout s’enchaine à peu près logiquement. Les morceaux hors JVLIVS ne servent à rien à part rassurer les fans du début et le public s’est fatalement essouflé vers la fin du concert, quand bien même il ne se soit pas beaucoup époumonné. Était-ce vraiment nécessaire de jouer Je La Connais ou Fusil par exemple ? A contrario, pourquoi avoir fait le choix de ne jamais chanter ses intros d’album en entier ?
Je disais plus haut que le choix des morceaux était globalement bon mais dégraisser un peu la setlist aurait probablement permis à SCH d’être en maitrise du début à la fin, même s’il y aurait toujours eu un petit problème quant au rythme un peu fragmenté. Je pense cependant que l’idée de lancer SCH dans un concert de 4H n’est pas non plus une très bonne idée.
SCH, toujours pour Apple Music, disait qu’il n’avait pas fait Prequel pour rassurer les fans déçus d’Autobanh et JVLIVS II. Mais est-ce que jouer des morceaux d’A7 et Anarchie, casser sa trame narrative et ne pas essayer d’être jusqu’au boutiste sur le JVLIVS tour, non pas seulement sur la setlist mais aussi sur la scénographie et l’interprétation n’est pas un aveu de faiblesse ? Je ne pense pas que c’était un mauvais concert (contrairement à Ichiko Aoba qui fait 20 minutes de guitare avant de se casser par exemple), je trouve qu’il y a un écart de niveau entre le statut que l’on va attribuer à SCH avec son dernier album et ce concert qui est parfois frustrant, surtout sur la dernière partie. C’est encore plus dommage quand on sait que la première partie du concert, bien que très sobre sur l’interprétation, était, elle, totalement maitrisée et plaisante.
Je tiens aussi à souligner autre chose : SCH parle beaucoup de “film” auditif quand il mentionne JVLIVS. Il met en avant son amour pour le ciné, il a été invité à Konbini pour parler de films, etc. Cette volonté de théâtralisation traduit probablement les ambitions cinématographiques (le rappeur parlait d’une sorte d’entredeux entre le concert et la comédie musicale, mais à fact checker) de SCH et c’est tout à l’honneur de lui et son équipe d’avoir tenté quelque chose comme ça sur une tournée aussi importante que celle-là, encore plus quand on sait à quel point c’est dur d’arriver à un bon résultat sur scène.
Mais la vérité, c’est que mon avis n’est qu’un avis de sale connard pointilleux sans vraiment l’être, déçu d’un tiers de spectacle proposé par un rappeur dont j’apprécie globalement la quasi-totalité de la discographie. Anarchie exclu, Autobahn compris ! Quitte à avoir des takes que tous les fans de la première heure trouveront ignobles, autant le faire à fond.
Parce que oui, SCH était en maitrise sur tout le reste. Il a donné aux fans ce qu’ils voulaient. Il leur a offert les singles qu’ils ont chanté à tue-tête, il leur a offert une belle garde-robe, une scénographie totalement honnête et surtout un karaoké géant (sobre) de deux heures avec tous les sons iconiques d’une série d’albums déjà cultes dans le rap français. Et c’est probablement à cela aussi que servait ce Bercy et à quoi servira le reste de la tournée. Et je suppose que c’est déjà amplement suffisant pour la quasi-totalité des gens, plus particulièrement les fans, ces fameux scélérats.
C’était avant tout, pour beaucoup, un moment de partage, de joie, de chant et aussi parfois de bières et de bières. Même si le public était, globalement, assez timide sur la clope et la drogue douce, contrairement à certains spectateurs d’autres concerts comme celui de Bladee tout récemment.
On pourrait encore discuter longuement et pinailler sur bon nombre de détails.
Par exemple, est-ce que SCH qui fait une blague “qu’est-ce que c’est bon de se vider les douilles” après avoir fait semblant de tirer, c’est beauf ou c’est classique instantané ? Pour moi, c’est un classique. Pour d’autres, c’est probablement un gagé donné par Squeezie pendant le GP Explorer.
Est-ce que SCH ne devrait pas essayer d’être un peu plus actif sur scène ?
Est-ce que la danseuse qui est venue pour Je La Connais et Champs-Élysées, c’était sympa ou juste sans plus ?
Beaucoup de questions auxquelles on ne répondra évidemment pas.
A l’instar de ce bon vieux JVLIVS, nous allons plutôt tirer le rideau une dernière fois.
Nous rentrons donc, l’estomac dans les talons.
Peut-être que déguster ces superbes brochettes Kebab juste à côté de la salle de concert aurait été plus judicieux ? Qui sait.
Créée
le 15 déc. 2024
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