Lâcheté et mensonges
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Couronne dérisoire et barbe négligée, Costello tient le pari de s'avancer nu et exposé. Le dos tourné à sa vieille gloire new-wave anglaise, il risque l'exploration de tous ses drames dérisoires et intimes, à travers ce qui pourrait passer pour un brillant exercice de style ("le retour aux sources américaines", par exemple). S'il échappe à toutes les critiques, c'est que la vieille hargne qui l'habite encore garantit le malaise de l'auditeur bien forcé d'assister à ce déballage indû de sentiments trop crus. [Critique écrite en 1986]
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Mes 10 albums préférés de 1986 et Les meilleurs albums anglais des années 1980
Créée
le 17 juil. 2014
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