Critique de Klaus Nomi par tobor
Rien à faire, l’œuvre de Klaus Nomi agresse mes oreilles et ma matière grise. J'y suis épidermiquement allergique, prêt à quitter une salle par la fenêtre, à m'enfoncer des mégots dans les oreilles...
Par
le 29 mars 2014
1 j'aime
1