c'est la première alors je me lache
Il y a des choses qui sont évidentes sur cette terre, la mer c'est salé, la neige c'est froid, si je laisse cuire le riz trop longtemps c'est pas bon, ...
Ainsi, des évidences aussi flagrante existe dans le monde de la musique, exemple parmi d'autre, depuis que Eric Clapton ne prend plus de drogue il fait de la musique pour mamy, si Serge Gainsbourg étais encore en vie il se foutrait bien de la gueule de mec comme Cali ou Raphaèle et pour clôturé ses affirmations et retomber sur le sujet, Led Zepplin est un des plus grand groupe de rock de tout les temps.
Si cette critique atterrie sous le troisième album de ce groupe mythique,se n'est évidement pas par hasard.
En effet nous somme ici face à ce que l'on nome assez vulgairement, dans le langage courent, "un PUTAIN de chef d'œuvre " !
En plus d'être, a mon sens, le meilleur album du groupe, on se trouve également face a une pièce incontournable et majeur du classique rock.
Bien que moins fournie en pédale de distorsion et riff assassin a la sauce Page, cette album est un mélange subtile entre le côté brute , qu'on pu offrir les plaques précédentes (les album I et II) et une soirée scout ou coin du feu.
Bon, dit comme ça, ça n'a pas de l'air très excitent.
Mais ne partez pas, je développe.
L'album s'ouvre avec 'Immigrant Song', exercice connue pour le groupe, rythme extrêmement précis, voix de Robert plant bien haut percher et un riff simple mais d'une efficacité redoutable de la pare de Jimmy Page.
Ensuite vient 'Friends', et là les chose se corse, une guitare acoustique des percutions (djembé semble t'il ), violon et toujours la voix tonitruante de Plant.
Avec s'est quelque ingrédient le groupe arrive a faire passer une énergie folle, une espèce de tension épic à la sauce orientale, mais avec des accents vaguement blues/bluegrass quand la guitare fini de faire passer ça suite d'accord syncopé.
la fin de 'Friends' fini en liaison parfaite sur 'Célébration Day', avec cette transition le groupe arrive a faire quelque chose de grand, de fort, de puissant, ils font passer toute l'énergie d'un morceau acoustique vers un morceau bien plus sature, mais sans que cela ne choque ou ne dénote.
Une véritable trouvaille qui sera utiliser pare la suite par d'autre groupe sans grand succès, en effet, il faut du talent (et beaucoup) pour arriver a la cheville des dieux !
Après, les amis, on est face a une pièce ultime, un joyau, un diamant pur, 'Since i've been loving you', un blues en do, mes quels blues mes amis, ce morceau recèle une telle force, une tel intensité, mais pourtant la voix de Plant lui donne une réel fragilité et mélancolie.
Dans ce morceau, que l'on peu écouter a l'infinie, on remarque une chose, la symbiose totale de toutes les pistes, autant la voix que la guitare la batterie, la basse on quelque chose a dire, mais en aucun cas ne couvre une autres, c'est légalité, c'est la perfection, quand l'un se tais, c'est l'autre qui parle. la guitare de Page se balade entre riff bien gratter de haut en bas et des arpèges fin et mélodieux, la pédale de grosse caisse de John Bonham a beau quiné au début du morceau, l'efficacité de son rythme et ça précision chirurgicale donne a tapis rythmique proche de l'extase.
Il est a noter aussi que le finale de se morceau est un des plus fabuleux que j'ai jamais entendu, entre les respiration de la gratte de Plant et les roulement batterie de Bhonam, il te suffit d'avoir un verres d'alcool bien fort et ne cherche plus, te voila au paradis !!!
Après viens 'Out On The Tiles', encore du classique version led zep, mais faut avouez qu'après le chef d'œuvre que le groupe viens de nous faire subir il faut une pièce plus simple, il faut retrouver nos marque, se remettre les idées en place et pour ça on peu dire que le morceau remplie bien son rôle.
Et la ! transition, je vais parler d'une chose que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître.
Le vinyle,en effet, j'ai l'habitude et ce depuis très longtemps d'acheter mes musiques favorites en plaque sillonné.
Je profite de ce petite intermède pour causer quelque peu d'une chose que le cd a fait oublier, LA POCHETTE, blanche avec le nom du groupe et le numéro de l'album écrie en grand, le tout farci d'image collé en tout sens, bien que vue comme ça c'est pas ce qui a de plus beau, le vinyle a un petit truc en plus !!
En effet, la pochette est troué a quelque endroit et dessous se trouve , sur un disque en papier, une autre série de d'image que l'on peu faire tourné, ce qui permet de changer le visuelle qui apparaisse dans les interstices et permet de faire apparaître au hasard d'autre image ou le visage des membres du groupe.
La seconde face de plaque commence avec 'Gallows Pole', mélange très énergique et bien rock d'instrument des plus classique dans la culture musicale venue outre-atlantique, on y trouve du banjo, de la mandoline, guitare sèche. encore une petite trouvaille, Page avec sa guitare saturé arrive a la faire sonner comme un violon, le rythme est extrêmement bluegrass et donnerais presque envie de danser le quadrille.
Ensuit place a 'Tangerine' une balade bien dosé entre calme et mélancolie, sur le refrain on a la chance d'entendre la voix de Page avec un léger décalage sur la voix de Plant, qui donne comme un sentiment de longueur et de profondeur.
'That's The Way' quand à lui est d'une véritable légèreté, une espèce d'envoler musicale douce et lancinante
'Bron-y-aur stomp' où la joie du guitariste, d'un rythme très festif et enjoué, si vous êtes guitariste je vous conseille de le travailler, il est pas très complique et bigrement efficace.
Et l'album se fini avec 'Hats off to (Roy) Haper', une véritable folie, une tempête de son et d'attaque au bottleneck, un fois se morceau fini je doit vous l'avouer, on a qu'une envie, remettre la face A et recommencer l'expérience.
en bref comme en résumer ,vous l'aurez compris, j'adore cette albums, pour une seul, unique et simple raison, c'est une véritable tuerie.
N'oublions pas que led zep est classer pour certain dans un groupe de métal, ou de hard rock, cette albums (très acoustique) est la preuve que ce groupe n'est pas cloisonner dans un style bien particulier, se son des artiste, des artisans du son, qui savent jongler entre acoustique et électrique.
A l'écoute de cette albums on se rend bien compte que le groupe a une maitrise totale sur ces influence et de son art.
Pour finir et conclure Led Zepplin III est un véritable écrin qui recèle un merveilleux joyau (Since I've Been Loving You)
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