Avec ce disque, Katerine délaisse ses albums précédent pour montrer ce qu'il est vraiment : un type un peu timbré qui veut faire ce qu'il a envie, et tant mieux si vous suivez, tant pis si vous lâcher. En fait il s'en fout un peu beaucoup. Il va balancer un jazz déconstruit quand il a envie, des textes qui oscille entre le joli et la poésie anarcho-punk. Alors c'est sûr, on a le droit de le trouver chiant, et les créatures reste une premiére tentative, qui définira ce que deviendra le chanteur pour les années à venir : un sacré trublion !