Dans son regard absent, et son iris absinthe ...
Bashung qui reprends du Gainsbourg. Ça s'annonce déjà bien.
Variations sur Marilou prends une tout autre dimension, beaucoup plus distinguée, paradoxalement avec la voix plus "grave" et "profonde" de Bashung (dur à déterminer un timbre de voix, hein !)
J'aime beaucoup la façon dont il a compris cet album, compris Baby Doll, et réinterprété ces morceaux avec un ton beaucoup plus grave et "dangereux" que Gainsbourg.
Ce conte pour adulte prends le sens d'une leçon de vie, donnée par la voix vieillarde de ce grand monsieur qu'est Bashung.
Ce sont deux versions tout aussi différentes, qui se valent l'une l'autre, bien sûr.
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