Bobos à lames
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Oiseleur, tu m'as capturée, une énième fois. Je voue un certain attachement à cet album, notamment grâce à Sari d'Orcino, où mon nom résonne à chaque écoute. En dehors de cette flatterie, cet album ne me provoque rien d'autre qu'un trouble spastique émotionnel. Une diversité des morceaux qui permet de ne pas nous peindre l'entièreté du corps de la Mélancolie et de son ami le Spleen, mais qui malgré tout reste d'une homogénéité relative au talent du groupe, provoquant somnolence et émerveillement. Que de paradis artificiels.
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Créée
le 22 janv. 2020
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