Du rock posé et maîtrisé
Décidément je devient accro à ce groupe au rock posé. Pourtant je suis plus branché Metal, rock plus dynamique mais là vu le talent du groupe, je ne peux qu'être subjugué. Un album de 5 chansons...
le 24 août 2015
5 j'aime
Essai plus ou moins transformé pour le grand passage au rock progressif, lorgnant à peine du côté du Floyd, ce petit quelque chose de country rock tout en fluidité en plus. De belles envolée solides, comme ce final du Telegraph Road à deux guitares, ou la mélodie mystérieuse aux arpèges latins de Private Investigations, pilliers des lives. Un Industrial Disease plus digeste car plus dark que la version de fête foraine entendue au Hammersmith Odeon et qui décoince le ton un tantinet sérieux de l'album. It Never Rains, dans son dernier tiers, s'applique à émuler Le Zappa contemporain de cette époque avec un panache séduisant, clôturant l'album mieux que le décidément trop sage Making Moves.
Créée
le 13 mars 2024
Critique lue 23 fois
D'autres avis sur Love Over Gold
Décidément je devient accro à ce groupe au rock posé. Pourtant je suis plus branché Metal, rock plus dynamique mais là vu le talent du groupe, je ne peux qu'être subjugué. Un album de 5 chansons...
le 24 août 2015
5 j'aime
Celui que j'aime le moins malgré sa qualité de production impréssionante. Attention ça reste du haut niveau. La chanson marathon Telegraph Road valant à elle seule le détour. Private investigations à...
Par
le 17 juil. 2013
2 j'aime
La voix se pose, les claviers s’imposent, les passages instrumentaux s’étoffent et la guitare est toujours aussi magistrale. Sans doute le chef d’oeuvre de Knopfler & co.
Par
le 31 juil. 2014
1 j'aime
Du même critique
Tromperie sur la marchandise, l'affiche a l'élégance porcine d'un Seul contre tous mais son contenu est en fait une grosse farce guerrière qui ne mérite en aucun cas toutes les accroches putassières...
Par
le 2 avr. 2020
29 j'aime
12
Yi Yi sonne comme le chef d'oeuvre du cinéma taïwanais des années 2000, le film-somme d'un cinéaste parti trop tôt, qui avait encore tant à apporter à l'édifice qu'il avait lui-même bâti au cours des...
Par
le 27 févr. 2011
21 j'aime
4
Tout le monde, à part la bande de camés du coin, pensait le Velvet définitivement enterré dans les limbes de l'insuccès commercial, creusant tellement profondément leur propre tombe qu'ils ne...
Par
le 23 déc. 2011
19 j'aime
2