Texas serenade
Après Fire of love, le club du fusil sort l'excellent Miami en 1982. L'album déroule un rock poisseux, torturé et saturé avec des morceaux excellents comme A devil in the woods, Texas serenade, Run...
le 3 janv. 2015
6 j'aime
Peu de mots peuvent traduire sans trahir l'intensité pétrifiante de la musique de Jeffrey Lee Pierce et de son Gun Club en 1982, dont on disait à l'époque qu'elle arrêtait les conversations : il s'agit peut-être là de retrouvailles inattendues avec la texture essentielle, primitive, naturellement sauvage du blues et du rock'n'roll. Ce disque n'a pas d'âge, parce qu'il vient de la noire origine du mal qui nous ronge, et ses balancements et ondulations rituelles sont de la pure sorcellerie, sans aucun recul possible pour l'auditeur.
[Critique écrite en 1990]
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Mes 250 albums indispensables de l'histoire du Rock [en construction], Mes 10 albums préférés de 1982, Ceux qui ont triomphé de la malédiction du second album et Liste chronologique des concerts auxquels j'ai assisté [en construction permanente]
Créée
le 8 oct. 2014
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