It's a beautiful thing!

L'incroyable original, aussi massif (en terme de longueur) et majestueux (en terme de qualité) qu'un gratte-ciel peut l'être, et deux remixes, qui sont bien entendu de bonne qualité eux aussi (à noter ce côté acid house de Jam Scraper assez rare chez Underworld) mais sont sûrement 30 000 pieds en dessous tant l'original les éclipse.

Le groupe a pris la bonne décision en l'incluant lui plutôt que Jam Scraper (je veux d'ailleurs noter qu'avant de le découvrir pour la première fois, je croyais qu'il allait s'agir d'une version rallongée de la dernière section de l'original, mais comme ça peut arriver dans les singles du groupe, ce qui est indiqué comme un remix n'a en fait que très peu de choses à voir et semble être un morceau à part entière, c'est aussi ça qui peut faire l'intérêt d'un remix remarque) dans dubnobasswithmyheadman. Il a dû s'apercevoir que lui était de taille à faire suite à Dark & Long, ça fait tout de suite atteindre des sommets à l'opus, l'inconvénient est peut-être qu'on est forcés de redescendre et revenir sur Terre après avoir aperçu Elvis et entendu Dieu au téléphone...