Dépucelage
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le 12 sept. 2016
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7
Le mois de Septembre à commencer, et le moins que l'on puisses dire, c'est que pour La Femme il à bien démarré.
En effet après un report de la sortie de "Mystère" La Femme nous à fait envie jusqu'à cette rentrée pour nous exclamer, l'entre jambes déployée, son narcissisme "Parigot" de loosers branchés.
C'est à coup de mélodies nonchalantes, d'interludes de bobos têtes à claques en sortie de boîtes, de lexique d'hipster à la masse que le groupe nous balançe des arrangements aussi hypnotiques et envoûtants que ceux présents chez son grand frère "Psycho Tropical Berlin".
Passant par l'acoustique (Le vide est ton nouveau prénom), le synthétique crachouillard (Où va le monde ?), le "bertilisme" (Tatiana), le zouk (Psyzook), voir le psychotrip (Vagues) La Femme nous démontre qu'elle sait prendre des risques et elle y prend du plaisir.
Cet album nous racole pour de bon dans leur monde caricaturale post adolescents complexés et dans un lifestyle d'une douceur bétonnée aux rythmes tant effrénés qu'apaisés.
C'est donc ici un voyage que le sextet nous propose, une main qu'il nous tend pour se laisser influencer. Laissons tomber nos clichés et nos appréhensions, soyons affamés, obsédés, laissons nous influencer et suivons La Femme dans son trip juvénile et addictif. L'album désir nous émanciper, ne nous donnons pas de limite, le "Mystère" se consomme sans modération pour une véritable appréciation.
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Créée
le 14 sept. 2016
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