C'est l'album qui m'a fait découvrir Leonard Cohen. Bizarrement c'est via la reprise de Coil de "who by fire" sur Horse Rotovator que je me suis pencher sur le monstre qu'est Leonard Cohen. Il est très intéressant de noter l'influence de Cohen sur Christofersen. En particulier ce phrasé à moitié faux et faussement décalé que l'on peut retrouver tout au long de Horse Rotovator comme la musique dans "Lover, Lover, Lover " ou dans "Slow" qui se trouve quand à elle sur un autre album. Ces similitudes au niveau du chant et des thématiques se retrouve aussi dans les morceaux bankable de The Ape of Naples ( comprendre: Fire of the mind, The Last Amethyst Deceiver et Tattooed Man).
De plus au niveau similarité on notera aussi que ces deux albums sont les piliers fondateurs de deux carrières, pas des albums de la première heure mais une confirmation stylistique de début de carrière.
Voila plus une petite remarque qu'une critique.
J'espère avoir égayé votre curiosité.
Bonne écoute de ces deux grands albums aux styles différent mais pas sans ponts!