Après 35 ans de carrière Judas Priest aurait pu rester sur ses rails d’acier et telle une vieille locomotive usée par des années de bons et loyaux services rentrer sagement à la gare sous les acclamations de fans respectueux et reconnaissants.
Au lieu de cela pareil à un soleil sur le point de s’éteindre livrant son plus intense rayonnement, le groupe innove avec l’album le plus ambitieux et le plus abouti artistiquement de son histoire.
A la limite le mot « metal » semble être trop restrictif pour qualifier l’œuvre réalisée et il est peu probable que celle-ci soit pleinement comprise et acceptée par les amateurs de gros sons.
Ou nous emmèneront ils la prochaine fois ? Quelles sont les limites à ce jeu ?
Comme je le pressentais le crépuscule du groupe s’annonce passionnant à suivre…
Critique complète ici