Avant ça, encense Savant, ça va, ça vend (ou L'art de trouver un titre-virelangue sans rapport)
Il faut savoir que Savant est un artiste très prolifique. Voilà pourquoi son album dure aussi longtemps qu'un film d'animation de longueur moyenne. Alors oui, ce n'est pas facile d'écouter Orakel en entier sans s'en lasser, surtout avec ses sonorités agressives qui risquent d'exploser les tympans des non-initiés. Ceci dit, les chansons prises séparément, il y a quand même quelques perles (mes préférées de l'album sont Spacewolfe et Sawchain). Savant arrive parfois à des résultats intéressants avec des sonorités personnelles et des mélodies sympathiques.
Il est difficile de donner des adjectifs pour décrire cet album. C'est pourquoi je n'en donnerai qu'un : savant. Peut-être trop pour moi, jeune mélomane néophyte sans envergure ?