Vent du nord.
Une blonde hitchcockienne, un piano, une harpe et en un rien de temps l'atmosphère se met en place. Le disque atteint néanmoins ses limites une piste sur deux faute de ruptures. Son homogénéité est...
Par
le 13 juil. 2012
8 j'aime
Agnès Obel est pure comme l'eau de source de montagne, soyeuse comme une berceuse, confortable comme un pouf. C'est la chicorée du café noir Catpower, le champomy de Lisa Germano, Fiona Apple sans le swing, Nina Simone avec adoucissant. C'est le consensus mou, la David Guetta de Telerama, la trop bonne élève du conservatoire qui a oublié ses tripes à la maison.
Créée
le 13 juin 2016
Critique lue 221 fois
1 commentaire
D'autres avis sur Philharmonics
Une blonde hitchcockienne, un piano, une harpe et en un rien de temps l'atmosphère se met en place. Le disque atteint néanmoins ses limites une piste sur deux faute de ruptures. Son homogénéité est...
Par
le 13 juil. 2012
8 j'aime
Superbe découverte. Une douceur intense et un véritable sens de la mélodie. On y revient sans jamais se lasser.
le 6 juil. 2013
7 j'aime
1
Vainqueure des Dannish music awards récemment, la pianiste et violloncelliste danoise Agnes Obel a su traverser les frontières et séduire même en France. Doux son du violoncelle, accompagnement...
le 2 sept. 2014
6 j'aime
2
Du même critique
**Pinacle tragique des X-men de Chris Claremont, inaugurant une vague de débauchages anglais par l'écurie Marvel, la transformation de Jean Grey en Phénix Noir et la mort de l'Elektra du Daredevil de...
Par
le 5 juin 2019
51 j'aime
55
Ari Aster continue d'exploser les limites du genre horrifique. Il propose un renversement de perspective, une expérience psychédélique et philosophique. Son but est de nous faire entrer dans la peau...
Par
le 1 août 2019
43 j'aime
127
Pourquoi consacrer une critique à une série éminemment dispensable ? Pour régler des comptes, je suppose. Je suis resté collé devant pendant 6 saisons. Pourtant, j'avais bien remarqué qu'elle ne...
Par
le 13 mars 2018
33 j'aime
34