S'il y a les exceptions à la règle, Sparks est pire encore : un barbarisme sûrement, et des plus raffinés, puisque toute la syntaxe a été réinventée par les deux cancres. A revenir là-dessus, vingt ans après (les premières amours), on se retrouve pareillement diverti, émoustillé par cette vielle maîtresse, pour tout dire enchanté : c'est Prévert en drag queen, La Callas maniant ses godemichés, Roux et Combaluzier en chute libre dans la tour infernale, Mickey Mousse sur le cuirassé Potemkine, martial dans son uniforme d'où dépasse sa queue de rat… [Critique écrite en 1997]