Compte tenu de la situation délicate du groupe et malgré des ventes catastrophiques « Pleasant dreams » n’est pas le naufrage qu’on aurait pu redouter.
Dans l’adversité, les Ramones se replient sur leurs racines et mettent ici trop en avant à mon goût le coté rétro de leur musique, usant et abusant des chœurs, des claps de mains et des sonorités des années 50-60 mais pour autant les New-yorkais prouvent par quelques pépites surtout placées en début de disque qu’ils tiennent encore la rampe.
La question qu’on pourrait poser est pour combien de temps encore ? Tant en 1981, l’avenir paraît très sombre quant à la destiné de ce groupe légendaire.
Critiquecompletesurmonblog