Producteur excentrique et visionnaire, Joe Meek allait jusqu’à fabriquer lui-même les matériaux nécessaires à son travail de déformation du son ; encore aujourd’hui des pédales d’effet portent son nom. Jusqu’à son suicide en 1967, celui qui se verrait surnommé le « Phil Spector anglais » a multiplié les enregistrements, notamment instrumentaux, avec comme point d’orgue l’inoubliable « Telstar » offert aux Tornadoes quatre ans avant sa mort.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste pop-rock 60s et 70s : trésors cachés
Créée
le 24 oct. 2019
Critique lue 52 fois
Du même critique
Un documentaire tendre et émouvant, qui relate le quotidien d'une classe mixte dans un village d'Auvergne. La simplicité, la sincérité des "acteurs", est finalement un spectacle beaucoup réaliste et...
le 26 avr. 2020
4 j'aime
1
S’ils n’ont jamais atteint la notoriété de Echo & the Bunnymen, ces Londoniens sont parvenus à établir un intéressant lien entre le lyrisme de U2 et la rage sombre de Joy Division ; les New...
le 21 mars 2020
4 j'aime
Au même titre que Galaxie 500, ces Ecossais historiquement liés au label 4AD ont tracé les esquisses du shoegazing, et plus largement de la pop britannique des années 90. Lush, les Sundays, Cranes et...
le 21 mars 2020
4 j'aime
