Luca Turilli après avoir travaillé sur tant d'albums depuis plus de 20 ans de carrière, n'est toujours pas en manque d'inspiration. On a ici un long album, avec énormément d'orchestration et de couches musicales, beaucoup de complexité, de rythmes et styles différents, et le concept du "cinematic metal" est plus qu'atteint ici (à comparaison Ascending to Infinity paraitrait presque un album normal). Qu'on aime ou qu'on aime pas ce Prometheus, il est indéniable qu'il y a eu un énorme travail pour le créer.
En tant que metal "cinématique" donc, l'écoute se dessine non pas comme une suite de hits hyper catchy, mais plus comme un voyage au travers de la musique, comme une B.O. de cinéma quoi. On explore les décors dépeints par l'ambiance et on écoute les messages transmis par les paroles. Le ton se veut globalement épique avec beaucoup de choeurs, et je trouve ça réussi. Pas nécessairement des morceaux qui restent dans la tête, mais qui lorsqu'ils sont joués envoient quand même du lourd.
Nova Genesis (Ad Splendorem Angeli Triumphantis) : 6
Il Cigno Nero : 8
Rosenkreuz (The Rose and The Cross) : 8
Anahata : 7
Il Tempo Degli Dei : 7
One Ring To Rule Them All : 8
Notturno : 6
Prometheus : 9
King Solomon And The 72 Names of God : 6
Yggdrasil : 7
Of Michael the Archangel and Lucifer’s Fall Part II: Codex Nemesis : 8