Peut-être cinq, dix, voire quinze ans que je n'avais pas écouté cette étoile noire de 98 made in James Lavelle (et DJ Shadow). Album qui n'a pas pris une ride et dont les sommets sont pour moi "Bloodstain" (quintessence du trip-hop), "Lonely soul" (Richard Aschcroft à son top) et "Rabbit in your headlights".
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 7 déc. 2018
Critique lue 217 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Psyence Fiction
Sur la pochette, le lettrage est identique, ou presque, à celui de l'affiche originale de Blade Runner, le film de Ridley Scott. Et pour cause, à l'exploration de ces paysages sonores une impression...
Par
le 20 avr. 2014
8 j'aime
2
C'est un album qui est extrêmement compliqué à critiquer, il y a tellement de choses, du rock à la sauce unkle, du hip hop à la même sauce, et une balade, bref il ne faut pas se perdre, et le point...
Par
le 13 nov. 2019
1 j'aime
Peut-être cinq, dix, voire quinze ans que je n'avais pas écouté cette étoile noire de 98 made in James Lavelle (et DJ Shadow). Album qui n'a pas pris une ride et dont les sommets sont pour moi...
Par
le 7 déc. 2018
1 j'aime
Du même critique
Je retiens de ce 1er album du compositeur de musique de films Craig Armstrong, deux sublimes chansons (les seuls du disque qui est pour le reste instrumental) : "This love", chantée par la divine Liz...
Par
le 10 mars 2020
1 j'aime
2
Ces morceaux en forme de bande originale d'un film imaginaire se prête parfaitement aux trajets en voiture. Une douce mélancolie plane sur l'album. J'ai été en particulier touché par "Worlds of...
Par
le 20 janv. 2020
1 j'aime
Si vous n'avez jamais écouté de musique expérimentale, il est peut-être temps de se jeter à l'eau, glacée pour l'occasion : le label Rune Grammophon, spécialisé dans les musiques électroniques de...
Par
le 4 janv. 2019
1 j'aime
