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Je vais « descendre » cet album de Carcass (leur premier « Reek of putrefaction » sorti en 1988), non pas par plaisir car je n'ai rien contre le groupe, aucune aversion maladive,...
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le 1 juin 2019
Je vais « descendre » cet album de Carcass (leur premier « Reek of putrefaction » sorti en 1988), non pas par plaisir car je n'ai rien contre le groupe, aucune aversion maladive, aucune rancune mais parce que cet album représente ce que je n'aime pas dans le métal extrême et le grindcore.
Je pense d'ailleurs avoir une certaine légitimité et crédibilité pour le faire dans la mesure où j'apprécie Napalm Death, S.O.B, Brutal Truth, Terrorizer, Discordance Axis, Nasum, Disrupt, Extreme Noise terror, Assuck (voire Agoraphobic nosebleed à un degré moindre). Par contre je n'aime pas du tout Anal Cunt.
En fait j'aime le bon grindcore, celui avec des compositions ayant un minimum d'intérêt (par exemple le premier LP de Terrorizer) et non pas le grind qui cherche à faire du bruit pour faire du bruit !
En 1988 nous sommes au début du grind, aux balbuetiements et d'ailleurs Bill Steer le guitariste de Carcass officie aussi dans Napalm Death le « leader » du genre. Donc forcément comme tout nouveau genre ou sous genre musical ça tatonne, ça se cherche....mais là c'est tout simplement n'importe quoi, aussi bien sur le plan musical que pour le concept.
C'est au mieux « marrant » cinq minutes tout au plus après cela ne fait plus rire personne !
Ok c'est du grindcore donc on ne demande pas aux musiciens d'êtr des virtuoses mais s'il vous plait un minimum de mise en place et de construction serait la bienvenue (écoutez Terrorizer ou E.N.T et vous verrez la différence)
Là on dépasse les frontières et les limites entre la musique même la plus extrême et ce qu'il faut bien appeler de la cacophonie.
Du grindcore sans intérêt même si certains aimeront et y verront plein de qualités (et c'est leur droit) mais moi j'ai le droit de « descendre » cet album.
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le 1 juin 2019
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