Samedi soir a Beyrouth. 2008. Le son est énorme, très travaillé, avec sa basse monstrueuse et profonde, qu’on peut écouter très fort ou très bas tout en gardant une grande lisibilité. «Rafales » hypnotique chanson de voyage ouvre le disque. On poursuit avec « solitaire » un reggae rapide désenchanté sur ce que l’homme est capable de faire a d’autres hommes, « maria bonita » la classique chanson nanardesque sur une femme exotique, de Marseille ce coup-ci, « samedi soir a Beyrouth » nous fait ressentir l’ambiance de la ville. Encore un disque d’une grande densité.