Cuivres vitaminés à tous les étages avec quelques notes d’orgue Hammond pour une grosse et agréable coloration soul, la voix expressive, pas complètement maîtrisée de Mister Kevin Rowland sur quelques bonnes mélodies. Une sacrée recette pour un bel album qui a marqué son époque même si le groupe n’a pas vraiment tenu la route très longtemps.
A déguster sans fin : Geno et There, There, My Dear
Cela a peut-être un peu vieilli mais plutôt comme certains bons vins : plus d’ouverture et de rondeur tout en étant charpenté et en gardant suffisamment d’acidité pour amener une pointe de nervosité bien agréable ! Soul un jour, Soul toujours