Self/Entitled
6.9
Self/Entitled

Album de NOFX (2012)

C’est bon, c’est péchu, tout ce qu’il faut… Sauf la diversité… Du coup, ces bons morceaux finissent par devenir lassants à cause d’une batterie qui mitraille et de guitare qui grattent à fond les manettes. Et au bout d’un moment, j’ai l’oreille qui décroche…


Le CD dans le détail :


01 - 72 Hookers : C’est puissant, vif, ça arrache comme il faut
02 - I Believe In Goddess : bon, c’est déjà un peu trop scandé pour moi mais c’est en plus trop bref pour être appréciable…
03 - Ronnie & Mags : elle est très bien mais le côté symétrique (une voix, l’autre répond ; grave, aigu) la rend trop prévisible, carrée, et j’ai fini par me lasser
04 - She Didn't Lose Her Baby : ok, ça semble être le style du groupe mais à mon goût, ça aurait mérité une batterie plus épurée…
05 - Secret Society : dommage que les couplets soient un peu plus plat parce que l’ensemble est pas mal
06 - I, Fatty : la mélodie me palpite moins et la batterie mitraillette me fatigue un poil
07 - Cell Out : l’accompagnement manqué un peu de subtilité mais emporte bien le tout avec une mélodie qui passe pas mal
08 - Down With The Ship : encore une mélodie sympa mais qui aurait mérité un accompagnement moins dense que cette agitation frénétique
09 - My Sycophant Others : un bon accompagnement, cette fois, qui emmène une mélodie moins à la hauteur…
10 - This Machine Is 4 : la mélodie n’est pas mauvaise mais ces rafales de batterie m’épuisent
11 - I've Got One Jealous Again, Again : la mélodie n’est pas foncièrement intéressante mais l’orchestration réfléchie, en accord avec le chant, ça fait du bien !
12 - Xmas Has Been X'ed : les couplets sont pas mal mais les refrains ternes ne me convainquent pas…

Cellophane
7
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le 25 sept. 2017

Critique lue 126 fois

Cellophane

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