A l'instar de Coldplay, les album de Muse représentent également une évolution dans la musique (comme si l'expérience et les contactes avec d'autres grosses pointures de la musique font mûrir le style). Je remarque bien l’évolution entre Showbiz (1999) et Simulation Theory (2018), chaque album sont à leur place. On retrouve dans Drones les expériences de Matt Bellamy sur le morceau Unsustainable sur The 2nd Law, de même que dans Drones on trouve les traces qui vont nous amener naturellement a Simulation Theory.
Cependant je trouve personnellement quelque chose de très fade sur les trois/quatre premières chansons; comme si le choix de l'ordre des chansons n'avait pas permis la mise en situation dans l'univers de l'album. J'ai vu sur une autre critique du site le terme parodique. Et je pense en effet ,a mon humble avis, que ces chansons sont parodique même si toutefois l'esprit d'ensemble de Muse reste très présent. A partir de Break it to me nous sommes dans le bain et l'album prend une meilleure tournure. J'ai essayé de réécouter l'album une seconde fois d'affilé avec le mood qu'il m'a procuré et je n'arrive malheureusement pas a voir le lien des premières chansons avec l'album en soit.
Je suis aussi un peu choqué, au passage, que Dig Down ressemble tellement a Madness. Par la suite j'ai remarqué que cet album n'est pas vraiment si surprenant car comme je le disais il fait parti de la suite logique sans pour autant être si différent de Drones.
Cependant dans l'ensemble cet album n'est ni transcendant ni dégueulasse mais disons qu'il a le mérite d'être là
Enfin bon, faites vous votre propre avis.