Critique de Sleeps With Angels par Sergent_Pepper
Neil Young prend son temps et accompagne de sa voix, plus haute que jamais, les incandescences du Crazy Horse. Un must.
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Il faut toujours un dernier Américain pour parler de ses rêves déçus et des enfants armés par la haine, des voitures qui glissent dans la nuit brillante comme de celles qui rouillent dans le désert blafard. Les mots sont les mêmes, toujours, qui ne sont que des clichés mais parlent vrai. Quant à la bande sonore, c'est la plus belle, cette fois : l'électricité rampe au bord de l'obscurité et jamais n'engloutit les mélodies. [Critique écrite en 1994]
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Mes 10 albums préférés de 1994, Les meilleurs albums de Neil Young et Promenade sur les traces d'un géant : Neil Young
Créée
le 22 juil. 2014
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