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Pac-Man
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Un bon retour pour le compositeur britannique qui nous offre à la manière de Plastic beach tout un panel d'artistes en featuring. Une rupture complète avec leur précédent album donc, qui a du bon mais aussi du mauvais. Le moins qu'on puisse dire c'est que l'album n'a pas vraiment de cohérence globale, chaque morceaux semblant complètement indépendants. Une présence plus prononcée de chants et de sonorités hip hop, aussi bien masculins que féminin. Gorillaz se réinvente avec cet album, on remarque une grande montée en qualité depuis humanz, le groupe retrouve petit à petit sa créativité d'antan.
Le seul problème est que certains morceaux font tellement rupture avec ce qu'on a l'habitude d'écouter avec Gorillaz qu'ils font un peu tache et inversement d'autres morceaux puisent dans la nouveauté mais nous retrouvons toujours cette même âme de Gorillaz. Je pense notamment aux morceaux Aries, Opium ou encore Pac man et Désolé dont les feats sont en parfaite harmonie avec Damon Albarn. Un album irrégulier mais néanmoins très appréciable et qui annonce du bon pour le future du groupe.
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Créée
le 23 oct. 2020
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