Après avoir quitté WU LYF, Ellery James Roberts crie aujourd’hui l’amour à travers LUH, en duo avec son âme sœur Ebony Hoorn.
Si vous écoutez Spiritual songs for lovers to sing sans être averti du genre, il est possible que vous n'entendiez qu'un énorme brouhaha, un méli-mélo de sons où se pose une voix criarde et déchirée.
Mais si vous laissez tomber le monde environnant, que vous montez le son et laissez la musique prendre possession de vous, que vous osez lâcher prise, cet album risque de vous mettre une sacrée claque et de vous percuter à l’intérieur.
Comment définir leur musique ? Un mélange de rock frontal, percutant et de pop expérimentale, des touches électro...difficile de leur coller une étiquette sinon celle d'une envie criante de musique, de sincérité et d'un amour débordant. Il se trouve qu'ils sont touchants nos amoureux. Leur symbiose est belle. Et si on accepte, il se peut qu'on se laisser embarquer dans leur histoire.
La première fois que j'ai entendu leur premier single I&I, je n'aimais pas vraiment ce que j'entendais. Au fil des écoutes, j'ai apprivoisé cette chanson, ce style, leur manière de s'imposer à nous.
Et quoi qu'il en soit, quand je les écoute, je sais qu'il se passe quelque chose. Quelque chose d'imperceptible, un besoin, une urgence, une violence.
Coup de cœur que je ne m'explique pas forcément, pour cette rupture violente en plein milieu avec SORO complètement possédée.