"Star Wars / Close Encounters" (1977-Comme la sorti de ces deux blockbusters) , s'inscrit comme un album ... kitsch des années 70 . Il ne ressemble à aucun autre album des années 60 et des débuts des années 70 de Richard "Groove" Holmes (ex :https://www.senscritique.com/album/six_million_dollar_man/critique/273037805 ) . Au lieu de nous habitués à son style jazz-soul , il préfère donner un traitement pop , aux chansons populaires de l'époque (limite "The Benny Hill Show" dans son ensemble-même pas digne d'un "easy listening",- c'est dire la déception d'un tel musicien) . Bonne nouvelle pour les nostalgiques pour la venu des chansons , mauvaise nouvelle pour les amateurs de jazz . Ce disque et d'une durée de trente-cinq minute . le départ commence avec le titre éponyme de l'opus . Il comprend une section de cuivres , dans une orchestration , - alternant -, la pop et la disco (et plus particulièrement sur l'instrument à guitare) . Le thème de "Close Encounters" lui au contraire ne sera pas dans cette même mélodie . La prochaine est cette reprise de Kansas "Carry on Wayward Soh" .. Les cors , - amplifient la sensation fantaisiste d'une partie de celle-ci fond -, pendant le solo d'orgue . La reprise de Debby Boone , "You Light Up My Life" , fait place au synthé plutôt qu'à la Hammond de Richard "Groove" Holmes .. Puis surgit "Gonna Fly Now" ,- la reprise du thème de Rocky -, mettant en avant une flûte sur le chant . La sélection la plus forte dans cet album (par défaut , alors) à cinq titres reste quand même le thème de "The Spy Who Loved Me" , " Nobody Does It Better" ...
CONCLUSION (Comme le mentionnerai l'autre -suivez mon regard à Jéjé fait son Bagou-) :
"Star Wars / Close Encounters" restera un album optimiste et amusant pour les destinataires des clubs de disco , déprimant pour les amateurs de jazz , une production datée qui inclut un son sentimental (voire cul-cul) , Holmes joue bien ses solos . Malgré la réputation vénérée de Richard "Groove" Holmes dans le monde du jazz d'aujourd'hui , cet album fonctionnerai mieux comme une capsule temporaire sur le thème du cinéma . Mais les aficionados du jazz trouveront que ce "Star Wars / Close Encounters" est tellement niais , qu'il a son propre charme .