Sweetener, 4ème album d'Ariana Grande avait fait naître en moi beaucoup d'excitation notamment grâce aux singles "no tears left to cry" et "God is a woman". A la première piste (raindrops), je suis comblé, mais juste après cette (très) courte joie, la déception m'envahit. Seule la moitié de l’album est selon moi correcte, sinon le reste est très moyen. Evidemment, je m'attendais à ce qu'elle change de "style" de musique, toujours de la pop, mais quelque chose de plus personnel et qu'elle évolue, comme tout artiste. Cet album est personnel, oui, mais cela ne semble pas suffisant pour en faire un bon album et le mettre au niveau des précédents. Très vite on se rends compte d'où vient le problème : la production. Ainsi, la grande majorité des sons produits par Pharell sont très médiocres (blazed, the light is coming, successful, everytime, borderline, beter off...) et on se rend très vite compte qu'entre lui et Ariana, c'est comme l'eau et l'huile. Parmi les bonnes (ou agréables) chansons de l'album on retrouve le très court raindrops, god is a woman, no tears left to cry, breathin, goodnight n go, pete davidson et get well soon. L'une de mes plus grandes décéptions est the light is coming qui aurait vraiment pu être sauvé.
Même si l'album est assez moyen, le talent d'Ariana est là et il ne sert plus à rien de prouver qu'elle a une surement l'une des plus incroyable voix de ce siècle.