Encore un grand choc en 1977, et pas punk pour un sou, pourtant : l'apparition radieuse dans nos vies d'une nouvelle musique, à la fois mentale et dansante, mais surtout une musique, qui, tout en nous parlant des choses bizarres, décalées, voire inquiétantes, de notre vie quotidienne, nous faisait immanquablement sourire. Le paradoxe bien sûr est que, malgré une poignée d'autres albums superbes qui ont suivi, c'est toujours ce "77" (année bénie) qui nous revigore de sa candide perversité.
[Critique écrite en 1992]