, « The devil put dinosaurs here » est clairement un cran en dessous de son prédécesseur qui contenait des morceaux de classe supérieure.
Alice in chains parait en effet quelque peu en pilotage automatique, créant certes une musique toujours de bonne qualité avec le talent unique de compositeur de Cantrell et la voix si divine de Duvall, mais peine à se renouveler et à surprendre.
Uniquement composé de morceaux lents de plus de quatre minutes, « The devil put dinosaurs here » manque également parfois d’un zeste de punch et de vivacité à l’instar des meilleurs disques des cinq de Seattle.
On passera donc un moment agréable à son écoute sans crier cette fois au génie ni même à l’album majeur.
Dommage...
Plus d'informations sur ce lien :
https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2024/10/the-devil-put-dinosaurs-here-alice-in.html