The Drop That Contained the Sea par crash

Christopher Tin c'est un peu mon Final Fantasy VII de la world music : il y a forcément eu mieux, mais c'est par lui que je découvre pour l'instant il donc c'est ce que je connais de mieux (mais dans deux ans, mon avis aura probablement changé).

Indubitablement, le génie de Stanford maîtrise indiscutablement ses codes : l'album est complet, rythmé, parvient à mélanger les genres sans jamais sombrer dans le n'importe quoi. Il est doué pour le classical crossover et ça s'entend.

Cet album, il raconte une histoire, il est construit, il a un début, un milieu et une fin. Il fait découvrir des trucs, attise la curiosité, et se savoure après cinq écoutes. Le signe, selon moi, d'un très, très bon album.

Tout comme son premier, calling all dawns.