Trésors cachés d'Issy
En douze titres joués pied au plancher et sans temps mort, Jim Heat et ses comparses portent haut les couleurs du revival avec leur psychobilly de première bourre. Brûlant leur passion pour les 60’s...
le 27 mars 2020
Les hurlements perçus au hasard sur quelque morceaux, la dégaine tapageuse teintée de suffisance, la moulinette pour hacher menu les racines rockabilly évidentes du trio sont une partie des nombreux gimmicks du fondateur né dans un bled du Texas au doux patronyme religieux.
On y entendra des trucs rappelant aussi bien Iggy (Wiggle Stick), du hardcore sexy (400 Bucks), le fantôme de Jim Morrison (The Devil's Chasing Me), du rock 'n' roll qui n'aurait que pour sainte mission d'aligner les notes le plus vite possible, Big Little Baby démarre par un rot envoyé à la tronche après une grosse gorgée de bière tiède avant de verser dans le rockabilly qu'on jurerait joué par Angus Young quand il avait 19 ans.
Le reste de cet album, trempé dans l'urgence , les riffs orageux (Loaded et l'envie de ne surtout pas faire comme tout le monde en 1993, sera du même tenant.
Créée
le 25 juil. 2023
Critique lue 11 fois
1 j'aime
D'autres avis sur The Full-Custom Gospel Sounds of the Reverend Horton Heat
En douze titres joués pied au plancher et sans temps mort, Jim Heat et ses comparses portent haut les couleurs du revival avec leur psychobilly de première bourre. Brûlant leur passion pour les 60’s...
le 27 mars 2020
Du même critique
Tromperie sur la marchandise, l'affiche a l'élégance porcine d'un Seul contre tous mais son contenu est en fait une grosse farce guerrière qui ne mérite en aucun cas toutes les accroches putassières...
Par
le 2 avr. 2020
30 j'aime
13
Yi Yi sonne comme le chef d'oeuvre du cinéma taïwanais des années 2000, le film-somme d'un cinéaste parti trop tôt, qui avait encore tant à apporter à l'édifice qu'il avait lui-même bâti au cours des...
Par
le 27 févr. 2011
21 j'aime
4
Tout le monde, à part la bande de camés du coin, pensait le Velvet définitivement enterré dans les limbes de l'insuccès commercial, creusant tellement profondément leur propre tombe qu'ils ne...
Par
le 23 déc. 2011
19 j'aime
2