The God That Never Was par Marc Poteaux
Eh, mais attendez un peu, on me l’a déjà faite celle-là, et y’a pas longtemps en plus ! Mais si, le coup du groupe de death suédois culte qui envoie la sauce et va botter le cul des p’tits jeunes, parce que c’est vrai, après tout, pour qui se prennent-ils ces morveux, ils étaient même pas nés à l’époque de l’invention du bracelet de force…Alors voilà, Dismember revient avec un nouvel album d’une qualité semblable à un «Where Ironcrosses Grow» encore frais dans nos mémoires. C’est à dire avec un death old school, exécuté de main de maître, classique mais d’une efficacité redoutable, qui se laisse écouter avec un plaisir certain, à jeun ou pas. Objectivement, cet album est même meilleur que le précédent, alors félicitons ces papys conservateurs du death metal et souhaitons-leur encore de nombreuses années d’exercice !