Des vêtements d'apparat sur les os saillants des cauchemars d'antan : sourire et chanter sous le soleil brésilien, mais aussi glisser insensiblement de la maladie à sa mise en scène, ou, si l'on veut, du caniveau au cabaret. Tant pis pour les vrais voyeurs, tant mieux pour les autres. Il y a là une nouvelle maturité musicale, qui porte ce disque enchanté jusqu'aux nues. [Critique écrite en 1990]

Eric BBYoda

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