Only Gods Play
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le 15 févr. 2016
6 j'aime
Un genre assez mmmmmouais globalement : le pop-punk.
Un groupe qui s'en sort plutôt pas mal : The Wonder Years.
Un groupe bien meilleur dans le genre : The Hotelier.
(Ecoutez "Home, Like Noplace Is There", c'est bon, sous la langue ça fond. Sérieusement.)
En bref, seul l'intro ("There, There") vaut vraiment le coup d'oreille parce qu'on a quelque chose d'un peu construit, une histoire racontée en musique avec un début et une fin, un truc qui se tient quoi.
Le reste est très linéaire. Tellement linéaire qu'en fait, on a l'impression de se retrouver avec deux chansons "dé"compilées en 13 sur un même album. Une chanson cool de 2min30, une autre de 45min.
Mais il ne faut pas bouder son plaisir pour autant. Déjà parce que la deuxième chanson (la fameuse là, celle de 45 minutes) est plutôt pas désagréable (exception faite de la parenthèse acoustique "Madelyn". Là pour le coup c'est un supplice). Ensuite et surtout parce que ça représente un effort considérable : la moyenne du genre se situe à une chanson, mais alors une seule, et puis bien, bien, bieeen répartie sur le temps d'une carrière entière.
Un album qui s'écoute mais qu'on ne retiendra pas une fois terminé, hormis pour les quelques ypstères oundèregroundes de Sputnikmusic qui crient au génie sans remarquer la queue du loup.
Ah oui, je ne sais pas si je l'ai déjà précisé, mais The Hotelier c'est quand même vachement mieux...
Créée
le 29 oct. 2015
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