My Afternoon Tea
Immense claquasse. Pas un seul hit, album au destin tragique, et pourtant, une multitude de délicieuses peintures de l'Angleterre profonde, de ses charmes et de ses joies. D'accord, il y a un creux...
le 5 mars 2013
15 j'aime
2
Il faut rire des concept-albums, plaie purulente du rock des seventies (la preuve, c'est que même le "Tommy" de nos années-lycée est à peu près inécoutable aujourd'hui...). En rire, oui, mais reconnaître qu'il y a eu des exceptions. Et ce "...Village Green..." en est une de taille, tout simplement le plus beau témoignage du talent mélodique de Raymond Douglas Davies, que l'on aime d'habitude plutôt distillé en single... Avec en plus, signe de ces temps bien allumés, une petite dose d'étrangeté sur les vertes pelouses de l'Angleterre de carte postale, et un filet d'arsenic dans la tasse de thé. [Critique écrite en 1993]
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Mes 250 albums indispensables de l'histoire du Rock [en construction], 10 albums pop parfaits, Mes 50 artistes ou groupes préférés, Les meilleurs albums anglais des années 1960 et Les meilleurs concept albums
Créée
le 23 janv. 2015
Critique lue 1.1K fois
4 j'aime
2 commentaires
D'autres avis sur The Kinks Are the Village Green Preservation Society
Immense claquasse. Pas un seul hit, album au destin tragique, et pourtant, une multitude de délicieuses peintures de l'Angleterre profonde, de ses charmes et de ses joies. D'accord, il y a un creux...
le 5 mars 2013
15 j'aime
2
Le sommet absolu des Kinks. Drôle, nostalgique, baroque, plannant, critique et intelligent, un catalogue de titres pop rock qui anticipent toute la Brit Pop d'aujourd'hui (la rythmique de Big Sky),...
Par
le 5 janv. 2012
7 j'aime
Il faut rire des concept-albums, plaie purulente du rock des seventies (la preuve, c'est que même le "Tommy" de nos années-lycée est à peu près inécoutable aujourd'hui...). En rire, oui, mais...
Par
le 23 janv. 2015
4 j'aime
2
Du même critique
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
205 j'aime
152
Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été passées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
Par
le 15 janv. 2020
191 j'aime
115
Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
Par
le 15 sept. 2020
190 j'aime
25